On ne peut pas plaire à tout le monde – Comment avoir confiance en soi ?

On ne peut pas plaire à tout le monde

Auteur : Valentin Auwercx

Genre : Développement personnel

Longueur : 21 460 mots

Thèmes abordés : Confiance en soi,  relations

Résumé : 

Et si je vous disais que peu importe votre physique, vos actions, vos décisions, vous serez toujours critiqué ? Que même si vous étiez parfait, certains persisteraient à vous juger ?

Peur, abandon, regrets…
Le manque de confiance en soi empêche énormément de personnes de s’épanouir et de s’accomplir. La plupart du temps, les gens s’oublient pour faire plaisir au plus grand nombre. Ils vivent à travers le regard des autres et n’osent pas par peur d’être exclus, de déplaire ou de décevoir. Apprenez à vous défaire de l’opinion des autres. Apprenez à affirmer votre personnalité, à vous libérer des limites que vous vous imposez. Apprenez à faire le tri dans vos relations, à vous débarrasser des blaireaux, des démoralisateurs et des sangsues. Avoir confiance en soi, c’est oser faire le contraire de ce que les autres attendent de nous. Avoir confiance en soi, c’est oser vivre à notre façon.

Confiance en soi

Date de Parution : 5 février 2021

Prix de l’ebook : 3,99€

Prix du livre broché : 8,99€

{Histoire | Extrait | Première partie}

Introduction

Ça vous est déjà arrivé de regretter de ne pas avoir osé par le passé ? De vous être renfermé sur vous-même par peur d’être blessé ? D’avoir bâillonné votre véritable personnalité, car le risque d’être jugé était trop élevé ?

Oui, bien sûr que oui. Qui en ce bas monde peut se targuer de s’être sans cesse assumé ? Qui peut se regarder dans le miroir et se dire : « je t’ai toujours aimé » ?

 Personne.

Le monde est peuplé d’inconnus dont nous déplorons ne pas avoir demandé le nom, de discussions qui auraient pu tourner d’une autre façon, et de mauvaises décisions que nous avons prises sans grandes convictions. Nous avons tous nos fautes, nos regrets et nos frustrations. Nous les subissons, nous les ruminons. D’année en année, ils se multiplient, jusqu’à ce que vienne le jour où, enfin, nous nous aimons…

Il n’y a pas de recette miracle. C’est principalement avec le temps que nous apprenons à nous assumer tels que nous sommes. D’ailleurs, selon une récente étude relayée par la revue scientifique Psychological Bulletin, c’est à 60 ans que nous aurions le plus confiance en nous.

60 ans…

Faut-il vraiment attendre d’avoir de l’arthrose, des petits enfants et des cheveux blancs pour se vanter d’être confiant – pour croire en ses capacités et en son potentiel de réussite ? Ne peut-on pas accorder beaucoup moins d’importance au regard des autres à 20 ans, mieux se connaître à 25 ans et être plus en phase avec son apparence à 30 ans ? En clair, ne pouvons-nous pas avoir pleinement confiance en nous dès notre plus jeune âge ?

Non, c’est impossible.

Tout comme l’enfant trébuche plusieurs fois avant de réussir à enchaîner ses premiers pas, nous devons échouer, encore et encore, pour apprendre de nos erreurs et nous accepter tels que nous sommes.

Je vais être franc.

Je ne compte pas farcir ce livre de poudre de perlimpinpin ou autres artifices. Vous n’y trouverez aucune formule magique ni de pilule bonne pour stéroïder votre égo. La vérité est là, elle est nue et je n’ai pas l’intention de l’habiller gauchement : seules les années et l’expérience vous permettront d’avoir pleinement confiance en vous. Il n’y a pas de secrets, pas de raccourcis. La réalité est que nous naissons tous différents, et que c’est à force de vécu que nous devenons égaux face à notre reflet. Mais alors, me direz-vous, pourquoi pondre un bouquin sur l’estime de soi si ce n’est qu’une affaire de temps ?

C’est une bonne question. D’ailleurs, je me la suis posée avant de me mettre à la rédaction de ce papelard. La réponse est tombée dans mon café neuronal comme une goutte de lait chaud. Si j’écris ces lignes, c’est pour vous convaincre d’arrêter de vous prendre la tête pour rien. C’est pour vous rappeler à quel point la vie est courte, pour vous expliquer que 99,99 % des 7,7 milliards de personnes sur terre n’en ont rien à faire de vous, et que c’est tant mieux.

Comprenez-moi bien, quoi que vous fassiez, c’est avec l’âge que vous parviendrez le mieux à vous assumer. Plus vous vieillissez et plus vous gravissez les marches d’un escalier qui, une fois au sommet, vous permettra d’admirer toute la splendeur de la vie. C’est année après année, enjambée après enjambée, que vous réaliserez à quel point tout est parfait. Seulement, il ne faut pas vous arrêter par peur de tomber, ou faire demi-tour et repousser l’ascension à plus tard, à jamais. C’est ce que beaucoup trop de gens font. Ils se disent : j’irai y jeter un œil quand j’en aurai le temps. Ils se trouvent des excuses pour rester dans l’inaction – ils sont trop fatigués, les autres sont trop méchants, le monde est trop injuste… Ils se demandent si ça vaut vraiment la peine de gravir les marches – si l’effort en vaut la chandelle. Ils préfèrent s’asseoir là où ils sont et attendre – attendre d’être confrontés à la maladie ou à la mort pour réaliser à quel point ils sont en vie, attendre que quelqu’un descende pour les prévenir que le panorama est magnifique vu d’en haut pour avoir le courage de s’y hisser, attendre d’être insignifiant pour oser rêver grand.

 Voilà pourquoi j’écris ce livre. Pour tapoter l’épaule des indécis, des angoissés et des égarés. Pour leur dire : « Viens, suis-moi ! La vue est beaucoup plus belle quelques marches au-dessus ! » Parce que moi aussi, un jour, je me suis arrêté au milieu des escaliers, et que si j’en avais le pouvoir, je retournerais dans le passé pour me faire avancer d’un bon coup de pied. Qui n’aimerait pas avoir ce don ? Celui de voyager dans le temps. Nous avons tous déjà rêvé de revenir quelques années en arrière et de pouvoir parler à une version plus jeune de nous-mêmes.

Et si c’était possible, que vous diriez-vous ?

Des trucs du genre :

« Ne te marie pas avec ce salaud, il va te tromper avec ta meilleure amie !»

« Travaille bien à l’école ou tu vas trimer à l’usine de biscottes toute ta vie ! »

« Joue cette combinaison au loto le 5 août 2020 et tu seras millionnaire ! » ?

Ou des conseils beaucoup plus éclairés tels que :

« Tu vas réussir. N’écoute pas tes parents, poursuis tes rêves, crois en toi et tout deviendra possible… »

« Ne te préoccupe pas du regard des autres, ce que tes amis pensent de toi ne changera pas ta vie… »

« Ose malgré les risques. Demande-lui son numéro, invite-la à danser, investis dans cette entreprise… Ose et tu ne regretteras jamais. » ?

Qu’est-ce qui compte vraiment ? Vos circonstances ou votre consistance ? Peu importe si vous aviez l’occasion d’offrir l’argent, l’amour ou le travail à votre version passée, vous resteriez cette même version future. Votre vie serait peut-être différente, mais pas vous. Vous seriez toujours la personne que vous êtes aujourd’hui – celle effrayée par son reflet, celle qui n’ose pas par peur d’être jugée. Ce n’est pas pour rien si près de 34 % des gagnants du loto se déclarent en dépression, si plus de 46 % des mariages se terminent par un divorce, et si 72 % des Français trouvent leur job stressant.

Les circonstances ne suffisent pas.

À contrario, si vous transmettiez les cartes de la confiance en soi à votre jeunesse, c’est une infinité d’opportunités qui s’ouvrirait à votre futur. Lorsque nous parvenons à nous assumer, nous prétendons à la tranquillité, à la liberté. Un oiseau perché sur un arbre n’a jamais peur que la branche casse parce que sa confiance n’est pas dans la branche, mais dans ses propres ailes. Peu importe la taille, la robustesse ou la beauté de votre arbre, le plus important réside en vous, en votre capacité à surmonter toutes les épreuves.

C’est ça le véritable bonheur. Pas l’argent, pas l’amour, pas le travail, mais d’oser être nous-même, d’oser vivre comme nous le souhaitons à chaque instant – en dépit de l’avis et du regard des autres.

Et si je vous disais que, tout de suite, maintenant, j’ai le pouvoir d’écrire à mon passé ? Vous ne me croyez pas ? Et pourtant, c’est ce que je vais faire. Je vais rédiger ce livre pour celui que j’étais 15 ans plus tôt. J’aurais aimé qu’on me dise tout ce qui va suivre. Peut-être qu’au fond, je savais déjà tout ça à l’époque, mais que j’avais juste besoin de l’entendre, de le lire.

Encore une fois, je ne suis pas là pour vous mentir – je ne suis pas là pour me mentir. Vous ne trouverez rien de miraculeux entre ces pages. La confiance en soi n’est jamais complètement acquise, elle se travaille quotidiennement et s’améliore tout au long de notre vie. Aussi, si vous cherchez le moyen de devenir parfait aux yeux de tous, je suis navré de vous apprendre que vous avez gaspillé votre argent. Et puis, de toute façon : on ne peut pas plaire à tout le monde.

L’important, c’est de se plaire à soi-même.

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